 | | | | | | | | | | | | | | | ||||||||
 | ||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||
Bruxelles 07/03/07: Entretien avec Christine Macel Lino Polegato: Vous êtes la commissaire du Pavillon belge à la 52e Biennale. Quel est votre rôle dans cette exposition ? Christine Macel: Je suis comme un miroir, j'aide Eric Duykaerts à tester ses idées, on a un dialogue sur la pertinence de certaines orientations. Quand un artiste est dans un processus de création, il a des moments de doute. C’est un travail extrêmement vaste, ça part d’un travail de réflexion, d’écritures et de communication. Ce n’est pas ennuyeux. L.P.: La nouveauté ? C.M.: On organise un "swimming-contest". L'idée c'était de railler la notion des prix, mais sur un mode très convivial et surtout de permettre aux artistes qui sont là de se réunir. On a eu l’idée, parce qu’on pensait à Thomas Mann - Mort à Venise - de louer l’Hôtel des bains avec sa piscine et d’organiser une petite compétition de natation avec tous les artistes des différentes nationalités. J’ai déjà une équipe autrichienne, française, belge, italienne... L.P.: Mais il vous faut absolument l’équipe de Tahiti ! C.M.: Je suis ravie de vous rencontrer comme ça, on va pouvoir avoir l’équipe de Tahiti... (retour) | ||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||
 | ||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||
 |  | |||||||||||||||||||||
 |  | |||||||||||||||||||||
 | ||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||
